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NON à l’initiative de résiliation de l’UDC !

De quoi il s’agit

L’UDC cherche à mettre fin à la voie bilatérale avec l’UE alors que celle-ci a déjà largement fait ses preuves. Il s’agit purement et simplement d’un autogoal : cette initiative mettrait un terme à la libre-circulation des personnes et signifierait la sortie de notre pays des accords Schengen/Dublin. Quelles en seraient les conséquences ?

D’une part, la Suisse ferait face à une pénurie de main d’œuvre sans précédent, touchant des secteurs clés comme la santé, l’agriculture et le bâtiment. D’autre part, notre pays ne pourrait plus compter sur les bénéfices de la coopération avec ses voisins en matière de sécurité aux frontières. En d’autres termes : la porte serait ouverte à la migration illégale, au terrorisme et au crime organisé.

Avec son initiative, l’UDC compromet ainsi purement et simplement la sécurité de notre pays !

Je m’engage contre l’initiative de résiliation.

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Sous couvert de la durabilité, l’UDC cherche à mettre fin à la voie bilatérale et à isoler la Suisse du reste du monde. Les conséquences seraient très claires : la fin de l’accès privilégié au marché européen pour les entreprises suisses, et l’exclusion de notre pays des accords de coopération en matière de sécurité aux frontières. Engagez-vous dès maintenant contre l’initiative de résiliation !

Nos soutiens

Prénom Nom de famille Fonction Organisation/Parti Code postal
Afonso Araujo Musicien PLR Genève 1205
Vincent Arlettaz Conseiller communal / Président PLR Lavaux-Oron PLR 1095
Toky Belitto Investigateur Plr lausanne membres 1004
Marie-France Belleux PLR 1110
Jean Pierre Boss Médecin 1009
Aldo Camponovo Ingenieur PLRT 6944
Jacques-André Conne Ancien Syndic de Lutry PLR 1095
Alexandre de Senarclens Avocat / député GE 1231
Jean-Philippe Devaux Economiste PLR 2520
Pascal Favey employé communal 1853
Prénom
Nom de famille
Fonction
Partei
Code postal
Afonso Araujo
1205
Musicien
PLR Genève
Vincent Arlettaz
1095
Conseiller communal / Président PLR Lavaux-Oron
PLR
Toky Belitto
1004
Investigateur
Plr lausanne membres
Marie-France Belleux
1110
PLR
Jean Pierre Boss
1009
Médecin
Aldo Camponovo
6944
Ingenieur
PLRT
Jacques-André Conne
1095
Ancien Syndic de Lutry
PLR
Alexandre de Senarclens
1231
Avocat / député GE
Jean-Philippe Devaux
2520
Economiste
PLR
Pascal Favey
1853
employé communal

Arguments

NON à l’effondrement du marché du travail suisse !

L’initiative exige que le Conseil fédéral résilie l’accord sur la libre circulation des personnes dans le cas où la population résidente permanente atteint la limite fixée par l’UDC. Or, notre pays dépend de la main-d’œuvre étrangère, aujourd’hui mais surtout à l’avenir. Avec le vieillissement de la population et l’augmentation constante du nombre de retraités, la Suisse fera face à une pénurie de centaines de milliers de travailleurs. Sans personnel soignant étranger, sans ouvriers des bâtiments ou encore sans travailleurs agricoles, ce sont des secteurs économiques essentiels seront gravement menacés.

1.

NON à des migrants illégaux supplémentaires

Si le Conseil fédéral venait à résilier l’accord sur la libre circulation des personnes, c’est tout le paquet des Bilatérales I qui s’effondrerait. En effet, les sept accords sont indissociables les uns des autres en vertu de la « clause guillotine ». Les Bilatérales II seraient également directement concernées : les accords de Schengen et de Dublin sont fondés sur l’accord sur la libre circulation des personnes. Le Conseil fédéral ne cesse de le répéter depuis 20 ans. L’initiative de résiliation créerait un chaos en matière d’asile, puisque la Suisse ne pourrait ainsi plus renvoyer les migrants illégaux dans leur premier pays d’accueil. De plus, tout demandeur d’asile débouté dans un État Dublin se verrait offrir une seconde chance en Suisse.

2.

NON au terrorisme et au crime organisé

Les accords Schengen/Dublin sont capitaux pour la sécurité de notre pays. Si l’on y met fin, la police et les services de renseignement n’auraient plus accès aux bases de données du système d’information Schengen (SIS), du système d’information sur les visas (VIS) et d’Eurodac. Aveuglée, la Suisse ne pourrait donc plus lutter efficacement contre le terrorisme et le tourisme criminel.

3.

NON à des dégâts massifs pour l’économie

Des études estiment que l’économie suisse perdrait entre 5 et 10 milliards de francs par an en cas de suppression de Schengen. Contrôles aux frontières pour tous, temps d’attentes massifs et embouteillages aux douanes : voici quelle serait la nouvelle réalité quotidienne. Les régions urbaines de Bâle et de Genève s’étendent depuis déjà longtemps non seulement sur le territoire suisse, mais aussi sur celui de l’UE. Les contrôles aux frontières en plein milieu de la ville deviendraient une réalité. Plus globalement, c’est aussi le commerce extérieur qui subirait un net recul, fragilisant encore davantage notre économie.

4.

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